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Revue de l’économie romande #6

Au niveau économique, politique et culturel, que devons-nous retenir de l’actualité du mois dernier ? Découvrez les informations phares du mois d’octobre :

 

Economie

Fiscalité des entreprises: le peuple votera bien le 12 février 2017 sur la troisième réforme de la fiscalité des entreprises. La Chancellerie fédérale a confirmé l’aboutissement formel du référendum lancé par la gauche. L’Agefi met en avant la liste des treize cantons qui ont fait connaître à quel niveau ils souhaitent faire baisser le taux de l’impôt sur le bénéfice

 

Fiscalité toujours, cette fois avec les impôts communaux. Bilan dresse l’inventaire des disparités fiscales à l’intérieur d’un même canton. Ces écarts peuvent atteindre plusieurs milliers de francs entre les communes les plus attractives et celles moins avantageuses.

 

 

Digital

Sensation à l’Ecole Polytechnique fédérale de Lausanne (EPFL). Avec une levée de fonds de 10 millions d’euros, la start-up Coorpacademy, leader des cours en ligne pour entreprises, va passer la barre des 100 collaborateurs d’ici une année. L’occasion pour la RTS de signer un sujet avec Jean-Marc Tassetto, ancien président de Google France, et l’un des trois cofondateurs de la start-up.

 

Genève se dote d’une nouvelle loi sur les taxis pour mettre de l’ordre dans la profession tout en réglementant les activités des nouveaux acteurs comme Uber. RTS info précise les contours de ce nouveau texte de loi.

 

 

Emploi

La Poste entend remanier son réseau en misant intensément sur les guichets installés dans des commerces partenaires. Cette transformation risque d’avoir un impact sur quelque 1200 collaborateurs d’ici 2020, représentant environ 700 emplois à plein temps.

 

 

Cinéma

Ma vie de Courgette, film d’animation du Valaisan Claude Barras sort en première place du box-office Suisse romand à l’issue de ses premiers jours en salles. Plus de 22’000 entrées ont été comptabilisées depuis sa sortie mercredi dernier jusqu’à dimanche soir. Un succès retentissant. Selon L’Agefi, si le chef d’œuvre aborde la vie d’un jeune garçon qui se croit seul au monde après le décès de sa mère, le film, d’un budget de 6,5 millions d’euros, est également l’histoire d’un pari artistique et financier.

 


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